jeudi 29 janvier 2009

Le bal des actrices

Aujourd'hui : Le bal des actrices, un film qui se veut être un documentaire sur les actrices de cinéma connues ou non, jeunes ou vieilles …. Un documentaire avec en plus des parties musicales. On voit la réalisatrice vendre cela à un producteur plutôt hésitant. Un bon casting : Charlotte Rampling, Marina Fois, Karine Viard, Mélanie Doutey et Romane Boringher … J'arrête là, il y a des inconnues et ce n'est pas la peine de les citer !!
On est censé rentrer dans l'intimité des actrices sans faire glamour et pipole et cela marche. On voit que dans le congelateur de Jeanne Balibar il y a des cônes glacées Leader Price …

Il y a un acteur Joey Star, celui-là j'avis un à priori sur lui , il avait une vie un peut agité si j'ai bon souvenir. Il joue pas un mal son rôle de père de famille quasi modèle (Oui, c'est le mari de la jeune réalisatrice Maureen … )… Dans le film on navigue entre la réalité, la fiction, la comédie musicale, il y a de l'humour , de l'auto-dérision. On voit des actrices se faire jeter dans un casting (Marina Fois), une autre (Romane Boringher) pleurer parce que personne ne l'appelle fiction , réalité ?
En fin du film on voit toutes les actrices se défouler sur la réalisatrice dans son dos, c'est bien dans leur nature et péter un câble contre le producteur.

C'est finalement bien réaliste.

mercredi 28 janvier 2009

Banquiers, joueurs de tennis et Deneuve dans le même sac ..

C'est un mouvement d'humeur ….

Il y a longtemps vers les années 1980, c'est dire il y a des lustres, j'avais entendu le président d'une banque, la BNP je crois bien, dire, je reformule : les fondamentaux de la banque étaient bons et que ses actions augmenteraient fort certainement de 10 % d'ici quelques mois. J'ai cru ce président, quand même un président avec des paroles aussi fortes et convaincantes, il doit savoir ce qu'il dit. De plus il y avait eu une publicité extraordinaire avec Deneuve : La BNP un banque de professionnels ! Elle était formidable, georgious comme diraient ces chers anglais.
Sous le coup d'une fascination, j'ai acheté ses actions et quelques mois après, elles avaient perdues 20 % ! Cela a été le début d'une longue et bien triste histoire.

A l'occasion du tournoi d'Australie, et un peu harcelé par des pubs sur des sites de paris qui se déclenchent plus où moins automatiquement pendant la consultation du site de l'Equipe.
J'ai craqué, j'ai parié 15 euros sur les résultats des joueurs de tennis français Gael Simon et Jo-Wilfrid Tsonga. Si cela marche je gagnais 85 euros ! J'ai parié que Simon allait gagner Nadal, que Tsonga ferait de même avec l'autre espagnol et qu'il allait gagner le tournoi pour un gain éventuel de 30 euros !
Avant les matchs j'étais dans le moral d'un vainqueur. Ce matin j'ai suivi les matchs en streaming sur une chaine chinoise les deux matchs, j'ai tout perdu !

Conclusion

Ne croyez pas ni les banquiers, ni les joueurs de tennis, ni Catherine Deneuve ! Qu'ils aillent tous en enfer, pour ne pas choquer mon lectorat en utilisant des injures ordurières sur les habitudes sexuelles !

PS : Je suis passé en fin de matinée à Drouot, il y avait une vente de manteaux de visons, de renard argenté, de sacs Givenchy, Lancel … qui partaient pour rien, vraiment rien : cinquante, quatre-vingt euros …
Il y avait des toques de fourrures pour dix, vingt, trente euros.
Dans le lot, il y avait un manteau Burberrys doublé loden qui a commencé à cinquante euros, lorsque le commissaire l'a baissé à 30 euros, j'ai levé la main. Cela a fait quarante deux euros avec les frais et taxes. Bon d'accord, il n'est pas hyper neuf, mais il a été dégraissé !

Cet après-midi je suis retourné à Drouot, tout fier, avec mon beau manteau. Un jour je trouverais une porcelaine chinoise.

De la sorte, je me suis consolé de mes déboires avec les paris.

dimanche 25 janvier 2009

Voir et regarde : Un Atelier des Amis

Hier j'ai participé à un atelier des Amis : Voir et regarder. Pierre Ricco' l'animateur, il nous a montré une série de diapo qu'il nous a commenté.

Tout d'abord, il y a eu retour sur la visite de Lyon que je n'ai pu voir sur l'exposition Repartir à zéro avec des oeuvres de Pollok Rothko.
L'idée est qu'après la seconde guerre mondiale en 1947 – 1955 des peintres on redécouvert l'art, la peinture. Mais part-on vraiment de zéro ? On déconstruit les projets des artistes précédant pour bâtir une nouvelle œuvre. Ou alors si l'on crée quelque choses de nouveaux, le cubisme, l'abstrait, il se peut que l'on soit plusieurs dans cette voie, sans avoir forcément connaissance des avancées de l'autre. Ainsi un cubisme russe s'est développé à l'abri du rideau de fer. Il ressort de la discussion que plusieurs mouvements sont représentés, il ne faut pas forcément chercher un lien entre eux.

Voir et regarder : pour moi, je mélange les deux termes, j'ai été chercher leur définition :
Voir : examiner, se représenter mentalement ….
Regarder : être orienté dans une direction, assister en observateur

La première vue qu'il nous montre est un paysage, puis on passe à une partie d'un tableau d'un peintre italien, il faudra que je retrouve son nom, qui nous montre une table d'apparat avec profusion de fruits bien disposés dans de beaux plats, on pourrait penser à des fruits glacés tellement ils sont beaux et propres. Pas question de montrer un fruit avarié, comme dans le Bacchus du Caravage. Les coupes sont bien disposées. Pierre nous a d'abord montré la moitié d'un tableau, il y manquait un équilibre, avec le tableau présenté dans son entier, une certaine harmonie emplit la toile.

Puis on nous montre une nature morte de Cézanne avec des pommes, des poires, un panier remplit de fruits. Il nous invite à voir comment sont représentés les fruits, avec un flou, des couleurs. On peut les reconnaître, les sentir, les goûter. Il nous montre comment la nappe blanche donne du mouvement, comment le blanc diffuse vers le reste du tableau et les éléments (fruits, couteaux, objets) de la toile s'interpellent les uns les autres. On voit comment la disposition des fruits, de la table, du panier sont un défi à l'équilibre et donne le mouvement, la vie.
Dans le précédent tableau italien la réalité est la somme des objets disposés avec un certain équilibre mais sans interaction, dans le Cézanne le peintre regarde pour nous à plusieurs niveaux de profondeurs ce qui créé déséquilibre et mouvements.
Le passage de l'une à l'autre des natures mortes montre l'opposition entre les deux œuvres. Les fruits objets immobiles dans la première, le goût du fruit, la sensation dans la seconde. De cela on ne peut conclure que la première est nulle et le Cézanne génial. Chacune correspond à un projet (une commande pour ce qui est du tableau italien) du peintre qui le fait avec le niveau de connaissance de son époque et son génie propre.

Plusieurs natures mortes nous sont encore montrées puis on passe à des paysages de Van Gogh. L'un est très frappant, des oliviers tortueux au premier plan, des collines bleues et un ciel d'un bleu très brumeux. Avec quel point de vue le voir ? Si je me souviens des oliviers "romains" sur la route de Valbonne à Grasse. Ils sont bien tortueux, mais pas aussi noirs et les collines ne sont pas bleues !
Avec mon réalisme de base, les oliviers sont verts, les collines rouges et arides, le ciel peut être, à la rigueur, brumeux à cause de la chaleur. Pas question de déroger ! Van Gogh a choisit de faire des collines bleues, est-ce une expression artistique, un parti pris délibéré de l'artiste qui décide qu'entre entre le ciel brumeux et les oliviers noirs c'est un bleu plus soutenu qui convient ? Est-ce la souffrance de l'artiste, sa maladie mentale qui lui font représenter des collines qui se tordent et des oliviers écorchés ? Le bleu représentant la froideur, la profondeur sans fin de sa détresse. Il ferait un transfert vers son paysage.
Devant un tableau, on devrait envisager ses différents points de vue et pour chacun il faut apprécier le génie de l'artiste à utiliser la matière, à faire vibrer, exprimer les couleurs. La lumière fait que l'ensemble se déplace, le vert est distribué, le blanc se répand
Ricco' cite : Le réel est le couple que nous formons avec le monde (dans ce réel là, il y a une belle part de subjectivité). Le style du peintre donne sa relation au monde. On doit se demander en quoi cette relation me fait voir ce que je n'ai pas vu. Dans le cas de Van Gogh, cette relation proposée par le peintre peut être un drame.

L'objectif est d'être surpris, si la surprise n'existe pas j'ai perdu mon temps.

mardi 20 janvier 2009

Deux nichoirs et Ingrid B.

Pour Noël, j'ai eu deux nichoirs pour mésanges à monter. L'ouverture est de 28 mm, pas bien grande, juste les mésanges noires où bleues pourront y passer. Dans la notice il est dit que l'on peut passer l'ouverture à 32 mm pour de plus grandes : les charbonnières. Mais j'ai fait une ouverture de 35 mm !! Trop grande, j'ai peur de récupérer d'affreux corbeaux dans mon beau nichoir ! Beaucoup de soucis en perspectives pour ce printemps …

Dans une critique de films sur "I feel good" sur un chorale d'octogénaires j'ai trouvé cette définition qui me va bien : " Y a-t-il une vie avant la mort ? "

Un article sur la vie d'Ingrid Betancourt six mois après sa libération. Je me suis demandé ce qu'elle ferait de cette nouvelle vie qui lui était accordée. Que Dieu lui a accordé, elle est très croyante et cela l'a beaucoup aidé pendant sa captivité, elle n'a pas peur de le dire. Je pensais qu'elle allait être happée par la notoriété, se répandre dans les médias, partir en politique. Après une tournée de remerciements à ses comités de soutien avec lesquels elle a voulu prendre la juste distance pour pouvoir reprendre sa liberté, elle prend le temps, veut écrire, arrêter d'aller de place en place, elle le dit à mi-mots être aidée psychologiquement, créer une fondation à destination caritative pour le tiers monde.

Elle n'hésite pas à dire qu'elle craint pour sa sécurité. Un avion, un hélicoptère dans le ciel lui rappelle des moments d'angoisses. Hésitant entre la Colombie et la France, elle préfère la France pour assurer sa sécurité.

Elle dit les difficultés à dire à ses proches les horreurs qu'elle a vécu durant sa captivité. Elle veut écrire pour faire le deuil d'horreurs qui dit-elle "doivent rester dans la jungle".

samedi 17 janvier 2009

Des robinets gelés et Europe1 !!!

De retour en Savoie, j'ai trouvé les robinets de la salle de bain du haut gelés. Du coté du mur du Nord, ils sont souvent gelés. Ferréole avait bien coupé l'eau, mais je ne lui ai pas demandé de vidanger les tuyaux, il y a deux petits robinets de vidange pour le réseau d'eau du haut au dessus de la machine à laver le linge. Il suffit de les ouvrir, un peu d'eau coule puis une fois terminé l'écoulement on ferme. Les robinets de vidange du réseau du bas sont dans le sol de l'évier de la cuisine.
J'ai passé les robinets à un sèche-cheveux et tout est rentré dans l'ordre. Il n'a pas fait trop froid (entre – 5 et – 10 degrés). Il y a quelques années, j'avais du changer le robinet de la salle de bains. En fait, en hiver à partir de mi-novembre jusqu'à mi-mars, il faut s'attendre au pire : couper l'eau au robinet principal et vidanger les deux sous-réseaux d'eau. Le sous-réseau qui n'est pas utilisé doit rester hors eau.

Bon, ces considérations d'ordre pratique étant dites, venons-en au film "Un homme et son chien". J'ai été le voir mercredi matin à la première heure. Les annonces avaient fait un battage avec Belmondo qui joue malgré un AVC qui l'empêche de bien marcher et limite son expression orale. Il gagne en force d'expression. Malheureusement la reprise, faite par F. Huster, du film italien de Umberto D. de Vittorio de Sica, grand cinéaste italien, ne cadre pas avec la manière avec laquelle on voit maintenant les sans-papiers et les SDF. F. Huster a une approche théâtrale et une psychologie des personnages qui correspond à celle d'un film de 1952. "Trop de violon" c'est ce que j'ai dit à un reporter d'Europe 1 en radio- trottoir à la sortie du film. Un peu surpris, elle voulait que je dise que c'est un "grand Belmondo", j'ai grogné deux ou trois mots et je me suis sauvé ! Malgré cette esquive, je suis passé à l'antenne ! Alain Rebuffet m'a reconnu.

samedi 10 janvier 2009

Deux films et Gaza

J'ai été voir pas mal de films en ce moment, rien de très grand, hier c'était Frozen River, un film américain qui se passe près de la frontière canadienne, proche d'un territoire Mowack. On est en hiver, une rivière gelée ouvre un passage temporaire entre le Canada et l'Amérique, par ce chemin on peut avec une voiture qui a un bon coffre faire passer des clandestins vers l'Amérique pour des négriers. Il y a une femme avec deux enfants un de 7-10 ans, l'autre de 17 ans, pas encore en capacité de travailler pour aider sa mère qui galère parce que son mari est parti jouer leurs économies qui devaient permettre d'avoir un nouveau mobil-home. Voilà le contexte. Le film bien écrit, sobre avec des bons moments de tension, d'humanité et une actrice efficace dans le rôle de la mère.

Cet après-midi c'est Import/Export, film qui se passe en Ukraine et en Autriche. Assez difficile, il montre les galères de deux jeunes : Une ukrainienne qui, après des galères, tente sa chance en Autriche et un autrichien qui va faire des trafics en Ukraine. L'écriture manque de force, avec de longs plans fixes, une mise en scène fruste, ce style a le mérite de nous bien montrer, toutefois, le sordide, les trafics, la pornographie triste, les mouroirs.

En ce moment, je suis, à la télévision, le conflit israélo-palestinien; avec les communautés israélienne et musulmane très importante en France, les français y sont très sensibles. Initialement, Israël veut rendre son territoire sûr, suite aux tirs de roquettes lancées de la bande de Gaza. Cela se justifie. Il faut dire aussi que, pour les israéliens, on est en période électorale et qu'il est important pour les électeurs d'afficher une attitude ferme. L'indicateur de réussite de l'action de l'armée israélienne, est la baisse significative du nombre de roquettes tirées sur les villages israéliens, après trois ou quatre semaines, il n'est pas forcément atteint. Les roquettes sont lancées de plus en plus loin dans le territoire israélien. Leur crainte c'est qu'ils arrivent, un jour, à atteindre Tel-Aviv. Reste la manière avec laquelle son armée conduit son action. Et c'est là cela devient nettement plus difficile. Gaza est un territoire très petit, très peuplé avec une population très jeune, enclavée entre la mer, Israël et l'Egypte. Ce territoire est maintenu en survie par des aides limitées de l'ONU, il ne reçoit cette aide extérieure que selon le bon vouloir d'Israël et l'Egypte qui a fermé sa frontière avec Gaza. Des tunnels, souterrains entre l'Egypte et Gaza permettent tous les trafics et surtout le passage des roquettes et Israël cherche à les détruire. Le Hamas, organisation régulièrement élue mais elle est terroriste et ne reconnait pas Israël, règne en maitre sur ce territoire. Ils semblent bien utiliser la population comme boucliers humains. Et c'est à partir de cela que commencent la polémique. Faut-il reprendre le terme de génocide reprit en leit-motiv par les organisations palestiniennes ? Est-ce que ce sont des bavures. Il est sûr que les armées de tous pays en sont capables et celle d'Israël a l'habitude d'être très dure envers les palestiniens. Essayer de contrôler des villes surpeuplées et survoltées, n'est-ce pas prendre beaucoup de risques de bavures immédiatement exploitées par les chaines de télévision arabes ? Comment arriver à "frapper de manière chirurgical sans dommages collatéraux" des populations pour qui la mort en martyr sous les coups de l'ennemi est la meilleure manière d'atteindre le Paradis d'Allah ?

Comme je l'entendais sur une télé, on peut se poser un certain nombre de questions sur ce conflit, les réponses définitives catégoriques n'apportent pas de solutions. Les questions et leurs réponses doivent seulement permettre que de continuer à chercher.

dimanche 4 janvier 2009

Une ballade au Louvre

Ce matin le premier dimanche du mois l'entrée du Louvre est gratuite. Donc à neuf heures, je me présente à la Porte des Lions, où il n'y a personne, c'est l'autre entrée du musée qui est dans l'aile de Flore. Peu connue, elle est peu usitée. Dans cette partie du musée il y a de la peinture espagnole avec Goya et les arts primitifs. Je me demande ce que font ces derniers ici plutôt qu'au Quai Branly. Les conservateurs ont parfois du mal à établir la cohérence thématique de leurs salles. J'ai trouvé des Renoir perdus dans les peintures françaises de la cour Carrée. La peinture italienne est aussi un peu partout. Mais revenons à l'art primitif, j'ai retrouvé, dans la section africaine, une vache sacré extraordinaire d'abstraction, un porc épic dont les piquants sont faits de clous. Pour l'Amérique du Sud, de beaux masques mayas, une pierre sombre sculptée figurant un serpent, à plumes, lové, un "collier" de pierre polie du peuple indien TaÏno.

Je repars vers la Grande Galerie, je ne m'attarde que sur un Caravage, lumineux, "La diseuse de bonne aventure", on y voit une bohémienne en train de subtiliser la bague du jeune noble a qui elle promet la fortune et la gloire qu'il espère. Je passe rapidement par la salle de la Joconde qui a toujours beaucoup de succès pour atteindre les salles où sont accrochés les Delacroix, David, Géricault et autres peintres officiels de l'Empire. Les rouge et ors de "La mort de Sardanapale" m'attirent l'œil. Dans un petit "recoin" la rencontre entre Delacroix et Picasso sur les femmes d'Alger. Quelques beaux nus d'Ingres, avant la Victoire de Samothrace, chef d'œuvre d'équilibre en haut de l'escalier.

Je continue vers la cour Carrée en passant rapidement sur les antiquités égyptiennes. Je grimpe à l'étage supérieur pour les peintures françaises. Je remarque des toiles d'Ingres, Fragonard, Watteau en remontant du coté de la rue de Rivoli je parviens au secteur des peintres du Nord. Une impressionnante salle des Rubens, une vingtaine de grandes toiles, commande de Catherine de Médicis, pour le Palais du Luxembourg, quelques Rembrandt. Je m'arrête devant un vase, somptueuse composition florale. Un thème souvent repris par Fragonard, Watteau.
Retournant vers le rez de chaussée je passe par les salles assyriennes avec leurs dramatiques et cruels taureaux ailés.

Je voulais passer voir la Venus de Milo pour vérifier quelle était toujours là et son influence sur les groupes de japonais, mais j'étais trop éloigné. Ce sera pour le prochain premier dimanche du mois.