Les repas de Noël - mes petites .... oeuvres
Comme dab en cette période, le TGV est blindé je m'installe par terre, dans l'entrée du wagon, à coté d'une porte, comme cela Tub a de la place pour s'asseoir. Ca le fait quand même, je peux commencer à saisir mon blog.
Les repas autour de Noël se sont bien passés. Le 24 c'était avec Ferréole et Antoine son cousin. Le 26 c'était avec Servane, Ferréole et Clémence avec leurs maris pour celles que cela concerne et Courtney, Sarah et Erwan par ordre d'entrée en scène.
Par manque d'imagination les menus de Noël ont été semblables : au début du fois gras avec une figue du jardin confite, puis du bar de ligne cuit dans une croûte de sel avec des petites pommes de terre et de la sauce hollandaise, du fromage choisis par Fé et la bûche de Noël auquel personne ne peut échapper. Parlons tout d'abord de la bûche. J'ai repris la recette de ma mère qui faisait une bûche avec du gâteau de Savoie roulé avec de la confiture d'abricot et une crème au beurre au café. Mais avec, depuis quelques années, il y a une variante : Servane et Clémence n'aimant pas le café, je fais une version chocolat pour leur être agréable. Cette année, j'ai fait une version métissée, c'est à la mode en Amérique, avec du chocolat blanc et du chocolat noir. J'aime ce chocolat blanc bien que les maîtres chocolatiers puristes trouvent ce produit contre nature.
Avec le nouveau four du bas, je ne jure plus que par lui maintenant, j'ai eu bien du mal à cuire le gâteau de Savoie. Pour que le gâteau gonfle, il faut le cuire à 230 °, très chaud. Mais avec ce four, le dessus est brûlé alors que le dessous ne l'est pas assez. Argh ! L'année prochaine, Inch'Allah, j'essayerais en mettant une feuille de papier sulfurisé dessus pour éviter qu'il ne noircisse.
Pour le poisson, c'est encore autre chose. Fé ayant souhaité éviter le saumon qui est un poisson gras. Je me suis lancé dans le bar qui est réputé fin et sans arêtes. Servane a quand même réussi à en trouver, j'ai été un peu vexé. Soupir …..
Pour le préparer, je me suis lancé dans une cuisson avec une croûte de sel. Cela à l'avantage de conserver toute la finesse du bar en salant, très légèrement, la chair à cœur. J'avais pris du bar de ligne, c'est à dire un poisson péché dans l'Atlantique à la ligne. Il est moins maltraité que celui qui est péché au filet. Le seul problème c'est que le poisson a réduit à la cuisson, c'était très bon mais nous avons du nous battre à trois sur le pauvre poiscaille. Pour le repas du 26 ou nous étions six adultes, dont au moins deux gros mangeurs (on ne citera pas de nom, mais certaines verront à qui je fais allusion), ne refusant aucun sacrifice je suis retourné à Chambéry compléter ma collection de bars. Pour cuire, mes trois poissons, j'ai pris une bassine, en disposant les disposants debout dans un mélange fait avec un quart de farine, du gros sel, du blanc d'œuf et du vin blanc. C'est censé faire une pâte enrobante sur laquelle on peut styliser un poisson. Le seul problème c'est que le poisson milieu n'a pas cuit suffisamment. La masse de sel était trop importante pour laissé passer la chaleur au centre.
Les repas se sont bien passés, les filles ont bien discuté entre elles. j'avais trouvé des colliers à Drouot, ils ont plu aux filles. On les a tiré au sort, puis après elles ont fait des échanges.
Tout fier, j'ai pu leur montrer l'alcôve toute rangée, affaires et dossiers. Nous avons choisi les couleurs de la salle de bains du bas. Et j'aurais des instructions pour le lit à deux places qui doit équiper la petite chambre, en haut, à coté de la salle de bains.
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